Le satellite INTEGRAL à la recherche de la source des ondes gravitationnelles
Un des instruments du satellite INTEGRAL qui surveille le ciel en permanence était actif au moment de la découverte de la première onde gravitationnelle GW150914 résultant de la fusion de deux trous noirs, mesurée par l'instrument LIGO.
Première détection de l’émission gamma d’une supernova SNIa par le satellite INTEGRAL
A partir des observations du satellite européen INTEGRAL, une équipe internationale, impliquant notamment un chercheur français du Service d'Astrophysique (CEA-Irfu) - Laboratoire Astroparticule et Cosmologie (Université Paris-Diderot) a pu pour la première fois détecter l’émission en rayons gamma de l’élément radioactif Cobalt-56 fabriqué en grande quantité lors de l’explosion thermonucléaire d’une étoile dense appelée aussi supernova de type Ia.
Une équipe européenne dirigée par Maurizio Falanga du Service d'Astrophysique du CEA-DAPNIA vient d'étudier un phénomène insolite, le regain d'activité d'un pulsar ultrarapide en train de dévorer son étoile compagnon.
Pour la première fois, une équipe européenne, à laquelle participe le Service d'Astrophysique (SAp) du CEA-DAPNIA, vient de dévoiler la répartition dans notre Galaxie de l'antimatière [1], une forme miroir étonnante de la matière.
Tout juste un peu plus d'un an après son lancement, le satellite INTEGRAL vient de fournir aux scientifiques une information majeure sur l'émission gamma de notre Galaxie, la Voie lactée.
Le 17 octobre 2002 à 4h41 temps universel, le satellite INTEGRAL (acronyme pour "INTErnational Gamma-Ray Astrophysics Laboratory" , "Laboratoire International pour l'Astronomie du Rayonnement Gamma") a décollé de la base de Baikonour (Kazakhstan) au sommet d'une fusée russe Proton de 700 tonnes.